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  • : Michel Sorin
  • : Le MRC 53 est la structure mayennaise du Mouvement Républicain et Citoyen, qui a pour but de rassembler la gauche républicaine à partir, notamment, des idées de Jean-Pierre Chevènement, l'un de ses fondateurs, qui n'est plus membre du MRC depuis 2015. Le MRC a pris le relais du Mouvement des Citoyens (MDC) après les élections de 2002. En 2022, le MRC est devenu membre de la Fédération de la Gauche Républicaine avec quatre autres organisations politiques.
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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 21:35

 

Le football en Afrique du Sud saura-t-il s’en inspirer ?

 

Il y avait de l’émotion et du plaisir samedi à Roland-Garros, lors de la finale dames du tournoi 2010. C’est dans ces moments-là qu’on mesure à quel point le sport est une composante importante de la vie sociale. En présence, deux joueuses qui parvenaient pour la première fois à ce stade de la compétition, relativement peu connues, mais méritantes au vu de leurs performances dans ce tournoi.

 

L’australienne Samantha Stosur, très athlétique, était favorite. Mais on s’attendait à ce que l’italienne, Francesca Schiavone au jeu plus diversifié, ne se laisse pas faire. Ce fut le cas, au-delà des espérances. J’ai découvert une joueuse et une femme de talent, fort sympathique.

 

L’article que le chroniqueur du quotidien Le Monde, Franck Nouchi, lui a consacré, ce 7 juin, correspond bien à ce que j’ai ressenti. Vraiment, cette Schiavone a fait plaisir à voir, confirmant que l’Italie a des trésors cachés.

J’approuve aussi la comparaison avec le spectacle offert par les footballeurs français vendredi face à la Chine. Mais, pas complètement, car le match France-Chine à La Réunion était un match de préparation à la Coupe du monde, qui va commencer vendredi 11 juin en Afrique du Sud. Le contexte émotif n’était pas le même.

Je veux croire que cette sélection française sans système de jeu confirmé, sans personnalité affirmée, mais avec des joueurs talentueux et un sélectionneur théâtral et fantasque, saura nous surprendre, à la façon de la Schiavone…

 

Le jour de la Schiavone, par Franck Nouchi (Le Monde, 7 juin)

 

Un instant d'éternité italienne sur la terre rouge de Roland-Garros. Francesca Schiavone s'effondre sur le court central, ses beaux yeux noirs perdus dans le ciel. A quoi pense-t-elle en cet instant magique ? Quelques secondes, le temps sans doute de réaliser qu'elle vient de remporter le tournoi de Roland-Garros, et elle se retourne, face contre terre. Comme elle l'avait fait en quart et en demi-finale, elle embrasse la brique pilée du Central. Peut-être même lui chuchote-t-elle quelque parole de remerciement, et elle se relève, face au public, face au monde.

A 29 ans, la Schiavone a gagné de la plus belle des manières face à la très solide Australienne Samantha Stosur. Une nouvelle étoile est née au firmament du tennis.

Alors, elle court, Francesca, escalade les tribunes pour aller embrasser les siens, disparaît dans les bras de ceux qui l'ont fait championne. Les pleurs, la joie de la première Italienne victorieuse d'un tournoi du Grand Chelem. A la télévision, Amélie Mauresmo, remarquable commentatrice tout au long de la quinzaine, confie : "On est émus."

Emus, nous l'étions tous, comme cela arrive parfois en sport, comme on l'est face à une grande actrice qui se transcende jusqu'au sublime. Le triomphe de Francesca Schiavone, ou le triomphe du jeu. Au micro, tenant la coupe Suzanne Lenglen comme on tient un bébé dans ses bras, elle se laissait enfin aller au bonheur, sourire éclatant, cheveux détachés, sympathique en diable. Belle.

 

Que cela fait du bien de voir une telle joueuse gagner Roland-Garros ! "Je suis une artiste", dira Francesca après son match. La Schiavone, comme on dit la Vitti ou la Magnani. Exagéré, dites-vous ? A peine. Comme ces deux immenses actrices, la Schiavone dit l'Italie. On la regarde, et il est impossible de penser à autre chose qu'à son beau pays. Fan de l'Inter de Milan - elle possède le maillot de Milito - et de Valentino Rossi.

Deux heures durant, face à l'une des plus puissantes joueuses du monde, elle a montré qu'elle savait tout faire. Un remarquable service, une volée de battante, une endurance à toute épreuve, et surtout une audace, une envie de gagner qui la faisait avancer à la moindre occasion.

 

Un match érigé en belle histoire. Tout le contraire de ce sinistre France-Chine vu la veille dans la nuit de La Réunion. Un pensum français. Ni plaisir ni désir, le sport dans ce qu'il a de plus stéréotypé, de plus convenu, de plus triste. La bureaucratie appliquée au football. On avait envie de leur dire : "Mais enfin, jouez ! Amusez-vous ! Amusez-nous !" Rien. Pas la moindre étincelle. "Je veux quitter le court en ayant l'impression d'avoir donné tout ce que je pouvais", a dit Francesca Schiavone. On la croit volontiers. Si seulement les Bleus pouvaient en dire autant... Quant aux Chinois, ils ont gagné. La planète football peut trembler.

 

Lu sur le site de Libération, le 5 juin : Francesca Schiavone à Roland-Garros: «C'est la journée de ma vie »

Et aussi, à propos du football et de la Coupe du monde :

Non, Domenech n'est pas Jacquet. Hélas ... (Marianne2, 7 juin, Antidote)

Cinq anecdotes sur la Coupe du monde pour les non-footeux (Rue89, 7 juin)

Plus que quatre jours avant la Coupe du monde 2010 de football en Afrique du Sud et vous ne connaissez toujours pas la règle du hors-jeu, ni celle du « je-mets-la-main-pour-marquer-un-but-mais-on-n'a-rien-vu »… Pour esquiver les discussions de comptoir autour de la technique de jeu, lâchez un bienveillant : « Sais-tu que… » sur l'un des cinq à-côtés que vous dévoile Rue89 sur la compétition (…).

 

Cet article est le 13ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports

 

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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 12:12

 

Un beau sport et un match bien maîtrisé par Evreux

 

Est-ce l’enjeu qui a tué le jeu des joueuses de Saint-Berthevin-Saint-Loup, apparues crispées lors de ce dernier match de la saison 2009-2010 du championnat de France féminin par équipes de tennis de table ? Ce qui est certain, c’est que la victoire d’Evreux ne souffre aucune discussion. Ce club, déjà vainqueur du championnat 2008-2009, renouvelle sa performance en reléguant l’US St Berthevin - St Loup T.T  à la seconde place, comme l’an dernier (voir les résultats des matches, Ouest-France Pas de titre de championnes de France pour les filles de Saint-Berthevin). 

 

Evreux-tt-10610-006-T.jpgLe Conseil général de la Mayenne, à l’initiative de Marcel Rousseau, conseiller général, élu du canton de Saint-Berthevin, avait affrété un car. Nous étions une cinquantaine de supporters présents à ce match décisif, équivalent d’une finale, puisque le vainqueur recevait le titre national (un match nul suffisait à St-Berthevin-St-Loup).

 

En plus du Conseiller général et du maire de Bonchamp, Pierre-Yves Mardelé, vice-président de Laval Agglo, et des dirigeants du club, le président Philippe Delaunay en tête, Yannick Borde, actuel maire de St-Berthevin, et Marguerite Géré, ancien maire se St-Loup-du-Dorat, étaient présents à cette confrontation entre les équipes d’Evreux et St-Berthevin qui se terminait habituellement depuis deux ans par un match nul (3 victoires à 3).

 

Daniel Legay, qui compte pour beaucoup dans la remarquable histoire de ce club (voir Tennis de table : St-Berthevin-St-Loup près du titre national), était entré en clinique le jour même pour une opération prévue de longue date mais Claudine était au premier rang des supporters.  

Bravo aux joueuses, Ruta, Oxana, Jia Nan, à leur capitaine Solène et à leur coach Stéphane, d’avoir réalisé une belle saison (demi-finale de Coupe d’Europe - voir Coupe d'Europe tennis de table : pas de finale pour Saint-Berthevin et vice championne de France) et d’avoir su intéresser de nombreux spectateurs à ce sport peu médiatisé mais passionnant.

Cet article est le 12ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports

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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 15:42

 

Des révélations qui mettent en cause Armstrong

 

On finira par connaître la vérité sur les pratiques en vigueur dans certaines équipes cyclistes professionnelles. Pas sans mal, car l’Union cycliste internationale semble protéger les délinquants. Les contrôles ont toujours plusieurs vélos de retard sur les techniques de dopage (voir Tour de France : le dopage continue d'être en avance sur les contrôles - 27 juillet 2009).

 

Pourtant, en France, le nécessaire est fait pour lutter contre les tricheries (voir Pierre Bordry - l’Humanité, 10 avril 2010). Pierre Bordry, le président de l’Agence française de lutte contre le dopage, évoque les nouvelles tricheries, l’UCI et les difficultés financières de l’AFLD.

« Nous sommes donc dans une évolution très sérieuse où des personnes excessivement compétentes forment ces sportifs. Il existe dorénavant de puissantes filières internationales du dopage ».

L’élément nouveau vient d’un ancien proche de Lance Armstrong, sextuple vainqueur du Tour de France, ami de l’ancien président George W Bush.

Landis avoue s'être dopé et accuse le cyclisme américain (Le Monde, 20 mai).

Dopage : Landis avoue et flingue tous azimuts (Le Soir, 20 mai)

La bombe Landis ! (Sports.fr, 21 mai)

Landis : "Lance Armstrong et moi-même avons reçu des transfusions sanguines" (Le Monde, 21 mai)

En passant aux aveux, mercredi 19 mai, Floyd Landis, le vainqueur déchu du Tour de France 2006, égratigne un peu plus la légende Armstrong. Le coureur américain, qui affirme avoir consigné toutes ses années de dopage dans un journal, accuse le septuple vainqueur du Tour de France et son mentor, le Belge Johan Bruyneel, de l'avoir initié aux hormones de croissances, érythropoïétine (EPO) et autres transfusions sanguines.

L'EPO, Armstrong et moi (Le Monde, 21 mai)  

            Cyclisme : Armstrong rejette les accusations de dopage de Landis (N Obs, 21 mai)

 

(…) Floyd Landis, qui jusque-là niait tout dopage, a expliqué au site de la chaîne sportive américaine ESPN: "Je veux laver ma conscience, je ne veux plus faire partie de ce problème".

Selon espn.com, Floyd Landis a reconnu avoir utilisé de l'EPO, de l'hormone de croissance et des transfusions sanguines, ainsi que des hormones féminines et de l'insuline quand il courait pour la formation américaine US Postal (de 2002 à 2004) et pour l'équipe suisse Phonak (2005 et 2006).

Le site raconte que le coureur, équipier de Lance Armstrong dans trois de ses sept Tours victorieux (2002 à 2004), avait dépensé jusqu'à 90.000 dollars par an pour des produits dopants et les services de consultants qui l'aidaient à mettre au point un régime d'entraînement.

Si Floyd Landis précise qu'il n'a aucune preuve matérielle pour étayer ses accusations, ses emails, dont le Wall Street Journal dit avoir pris connaissance, chargent Johan Bruyneel et Lance Armstrong.

Il y a deux mois, le président Sarkozy trouvait le temps, en plein remaniement gouvernemental, de recevoir son idole, Lance Armstrong (voir En pleine tourmente politique, Sarkozy reçoit Armstrong - Le Monde, 23 mars 2010).

 

Cet article est le 11ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports

 

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 22:50

 

La belle histoire d’un petit club familial ambitieux

 

Après l’aventure de la Coupe d’Europe, qui s’est terminée en demi-finale à Carthagène (Espagne) le 24 avril (voir Coupe d'Europe tennis de table : pas de finale pour Saint-Berthevin - 28 avril 2010), cette année 2009-2010 en championnat de France pro A de tennis de table féminin va s’achever le 1er juin à Evreux par un match entre les deux équipes en compétition pour le titre national, l’U.S St Berthevin St Loup T.T et Evreux (champion de France l’an dernier devant St-Berthevin et, cette année, 2ème à un point de St-Berthevin avant ce dernier match).

 

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En fait, une troisième équipe, Le Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), aurait pu emporter ce championnat de France si elle avait gagné son match face à St-Berthevin-St-Loup le 4 mai. C’est ce jour-là, en présence de Jean-Luc Laurent, maire du Kremlin-Bicêtre et chargé du dossier du Grand Paris au Conseil régional d’Ile-de-France, que tout s’est joué, dans un match de haut niveau, plein de suspense. Les deux premiers matches ont été gagnés par l’équipe locale et les quatre suivants par les visiteuses qui, de ce fait, s’ouvraient les portes du titre (voir Photos déplacement au Kremlin Bicêtre).

 

 

Joueuses, dirigeants et supporters, après le match au Kremlin-Bicêtre

   

 

KB 4 05 10 011Le président, Philippe Delaunay, avec Oxana (à gauche) et Ruta après le match au Kremlin-Bicêtre

 

 

 

Le match, le 11 mai, face à Mondeville, à St-Berthevin, le résultat nul (3-3) préservait les chances de St-Berthevin-St-Loup (voir le compte rendu du match dans le journal Ouest-France le lendemain Tennis de table : Le titre se jouera bien à Évreux).

 

Pour le grand rendez-vous du 1er juin à 20h à Evreux, qui décidera du titre national PRO A dames, un déplacement en bus est proposé pour un coût de 13 euros (transport et entrée dans la salle). Après plusieurs secondes places, le club a de bonnes raisons d’espérer la 1ère place cette année.

 

L’histoire de ce club est liée à la famille Legay, de St-Loup-du-Dorat (300 habitants), au sud-est de la Mayenne (près de Sablé-sur-Sarthe, la ville dont François Fillon fut le maire).

Daniel était instituteur de l’école publique et secrétaire de mairie. Avec Claudine, ils ont eu, après d’autres enfants, deux jumelles, Estelle et Solène, qui emportaient tous les titres nationaux de tennis de table féminin. Leur notoriété attirait d’autres joueuses et, en tennis de table, il suffit de trois ou quatre bonnes joueuses pour constituer une bonne équipe.

Les moyens locaux, matériels et humains, commençant à manquer, Daniel a pris contact avec ses amis de St-Berthevin (7000 habitants, près de Laval) afin de nouer des partenariats entre les deux clubs. Estelle et Solène Legay ne pouvaient rester en Mayenne que si le club était capable de les accompagner.

 

Après une Entente St-Loup-St-Berthevin, pendant quelques années, les deux clubs ont fusionné afin de pouvoir faire face aux caractéristiques d’une équipe de haut niveau. Cela fait une douzaine d’années que l’équipe est au plus haut niveau national (super-division, puis PRO A).

Le tennis de table féminin s’est professionnalisé. Cette année, Solène et Estelle sont remplaçantes des trois titulaires, qui sont Ruta Paskauskiene, lituanienne, championne d’Europe 2008 ; Oxana Fadeeva, russe, qui habite en Allemagne, et est amie de Ruta avec qui elle a joué les compétions de jeunes dans le cadre de l’URSS à l’époque, et est à peu près de même niveau qu’elle ; Jia Nan Yuan, chinoise qui a demandé la nationalité française (elle vit dans le Maine-et-Loire) et est arrivée en France il y a 6 ou 7 ans (elle avait 18 ans). KB-4-05-10-013.jpg

 

 

Solène Legay et Stéphane Dufresne après le match au Kremlin-Bicêtre

 

Pourquoi ce petit club réussit-il à se maintenir à ce niveau ?

 

Par la compétence de ses dirigeants d’une part - Philippe Delaunay et Patrick Laville aujourd’hui, Jean-Loïc Gaudin et Raymond Meslay auparavant, pour ne citer qu’eux, mais beaucoup d’autres méritent être cités - et le caractère familial d’autre part autour de la famille Legay.

Solène et son compagnon, Stéphane, ont pris le relais de Daniel. Solène est capitaine de l’équipe et Stéphane est coach. Quand il y a des matches rapprochés, ils accueillent chez eux les trois joueuses. Cela crée un climat relationnel favorable, Claudine et Daniel étant en soutien logistique permanent. Par ailleurs, Estelle est salariée du club et s’occupe de la formation des jeunes et de l’intégration des handicapés (une équipe participe au championnat de France Handisports). 

Les entreprises sponsors et les collectivités locales (mairies de St-Berthevin et de St-Loup-du-Dorat, Laval Agglo, Département de la Mayenne et Région des Pays de la Loire) permettent au club de maintenir ses ambitions dans le championnat de France pro A et la Coupe d'Europe ETTU (n°2).

 

Cet article est le 10ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports

   

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 18:17

   

A Cartagena, St-Berthevin avait des supporters espagnols  

 

La supériorité de l’équipe espagnole, vainqueur de la Coupe d’Europe ETTU 2009, a été moins évidente au match retour à Carthagène, le 24 avril, qu’au match aller à Saint-Berthevin, le 27 mars.  

Résultat : 3 victoires pour Cartagena, 2 pour St-Berthevin-St-Loup-du-Dorat. Ce résultat pouvait être inversé, tant les matches ont été serrés, mais le handicap du match aller était trop lourd (3-1 en faveur de Carthagène) pour que St-Berthevin puisse se qualifier pour la finale de cette Coupe d’Europe féminine de tennis de table.  

Voir sur le site du club US St Berthevin - St Loup T.T les informations concernant ce match :  

Photos Coupe d'Europe ETTU 1/2 finale retour  

1/2 finale retour Coupe d'Europe ETTU  

            Voir aussi les articles du quotidien Ouest-France :  

Tennis de table : Les Berthevinoises sont condamnées à l'exploit (OF, 24 avril)  

Tennis de table : Les Berthevinoises quittent l’Europe la tête haute (OF, 25 avril)  

Philippe Delaunay : « Nous avons atteint notre objectif » (OF, 26 avril)  

    

La délégation mayennaise, en plus des joueuses - Ruta Paskauskiene (Lituanie, championne d’Europe 2008), Oxana Fadeeva (Russie), Jia Nan Yuan (Chine) et Solène Legay, capitaine et remplaçante éventuelle - et du coach (voir Tennis de table), était composée notamment du président du club Philippe Delaunay, du conseiller général de la Mayenne, Marcel Rousseau, et du vice-président de Laval Agglo, Pierre-Yves Mardelé   

 

Comme les amis de Ceuti s’y étaient engagés lors de leur séjour à St-Berthevin début avril (voir 10 ans du jumelage Saint-Berthevin-Ceuti : les avis des deux signataires - 5 avril 2010), une délégation s’était déplacée de Ceutí pour se rendre à Carthagène et assister à ce match.   

 

Voir 1/2 finale Coupe d'Europe : tennis de table et jumelage font bon ménage - 16 avril 2010).    

 

La présidente du Comité de jumelage, Remedios Carreño (Reme), et la vice-présidente, Maria Asuncion Lopez (Susi) étaient présentes avec Alfonso Garcia et une douzaine d’habitants de Ceuti. P4240007.JPG  

Selon Reme, le match a été très intéressant, Jia Nan Yuan vraiment impressionnante et, de plus, très sympathique. Le président Philippe Delaunay et le Conseiller général Marcel Rousseau ont donné des explications techniques et ont été très sympathiques. L’entraîneur de Cartagena se demandait pourquoi il y avait tant d’espagnols avec l’équipe de Saint-Berthevin. Il a dit, en souriant, qu’il n’oublierait pas ça…  

 

 

Alfonso, Maria, Susi, Feliciano et Conchi, de gauche à droite,

militants du jumelage de Ceuti avec Saint-Berthevin 

(photo Reme) 

 

 

Cet article est le 9ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports  

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 14:14

 

Le 24 avril, à Carthagène, Ceuti soutiendra Saint-Berthevin

 

Par une curieuse coïncidence, sport et jumelage vont être associés pour notre plaisir de supporters et de citoyens.

L’équipe féminine de tennis de table de l’US St Berthevin - St Loup T.T est opposée samedi 24 avril 2010 à 11h30, dans le cadre de la demi-finale retour de Coupe d’Europe, à  Carthagène (Espagne) face à l’équipe locale, vainqueur de cette Coupe d'Europe ETTU en 2009.

Carthagène (Cartagena) est une ville importante de la Murcie, région autonome au sud-est de l’Espagne, dont fait partie Ceuti (voir Ville de Ceutí - La Commune, la Mairie de Ceutí et sa ville (Espagne), ville jumelée avec Saint-Berthevin (Mayenne).

Voir 10 ans du jumelage Saint-Berthevin-Ceuti : les avis des deux signataires - 5 avril 2010.

 

TT-Evreux-supporters-24-03-09-003.jpg Après la qualification en quart de finale aux dépens de l’équipe d’Istanbul (Turquie) - voir les vidéos http://www.us-st-berthevin-st-loup-tt.com/pages/Vi... - l’équipe française part en Espagne avec un handicap (défaite 3-1 le 27 mars à St-Berthevin). Cela met clairement Carthagène en position de se qualifier au match retour pour la finale (sauf à perdre 3-0).

 

 

 

 

Les dirigeants et supporters de St-Berthevin-St-Loup à Evreux le 24 mars 2009

 

 

 

Cela n’a pas découragé les amis de Ceuti, qui comptent bien aller supporter St-Berthevin à Carthagène le 24 avril. C’était bien l’intention de la présidente du comité de jumelage, Remedios Carreño Garcia (voir photo, ci-contre).  

 

jumCeuti30410-011-T.jpgVoir aussi cet article paru sur ce blog avant le match aller : Le tennis de table est aussi un sport d'équipe à Saint-Berthevin (53) - 15 février 2010.  

 

 

Remedios Carreño Garcia, à St-Berthevin le 3 avril 2010,

au côté de Manuel Hurtado García, maire de Ceuti de 1979 à 2007,

vice-président de la Commission Culture du Sénat espagnol 

 

 

 

 

  Cet article est le 8ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports

 

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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 23:55

 

L’esprit sportif et collectif à la base de la réussite

 

 

C’est une grande performance sportive qu’ont réalisée les pongistes féminines de l’US St-Berthevin-St-Loup samedi 13 février au COSEC de St-Berthevin. En tête du championnat de France pro A, cette équipe s’est qualifiée pour les ½ finales de la Coupe d’Europe ETTU, qui auront lieu en matches aller et retour contre Carthagène en Espagne (match aller à St-Berthevin le 27 mars).

 


TT-Evreux-24-03-09-002.jpgLes dirigeants et supporters de l'US St-Berthevin-St-Loup à Evreux le 24 mars 2009



Qui n’a pas pratiqué le ping-pong ? Pour ma part, j’aimais beaucoup cette activité, en tant que loisir-détente. Le mérite des dirigeants du club de St Berthevin (7 000 habitants, près de Laval) est d’avoir réalisé l’association-fusion avec le club de St-Loup-du-Dorat (village de 300 habitants près de Sablé/Sarthe). Celui-ci était doté d’un joyau : les sœurs jumelles Estelle et Solène Legay, bien aidées par leurs parents Claudine et Daniel Legay.

 

Estelle et Solène étaient, chaque année, championne et vice-championne de France de leur catégorie. Il fallait leur permettre de jouer dans un club, en Mayenne, qui puisse les accueillir. Ce fut fait avec l’association-fusion des clubs de St-Berthevin et St-Loup-du-Dorat, à l’initiative des  dirigeants des deux clubs, dont la lucidité doit être saluée.

 

Depuis une douzaine d’années, l’Union Sportive St Berthevin St Loup T.T joue au plus haut niveau du tennis de table féminin en France. L’équipe composée, en plus de Solène et Estelle Legay, de Ruta Paskauskiene (Lituanie, championne d’Europe en 2008, 3ème en 2009), Oxana Fadeeva (Russie, de niveau presque équivalent) et de Jia Nan Yuan (Chine, en France depuis 2003, demande de la nationalité française) a terminé à la seconde place en 2008 et 2009. En 2010, elle a de bonnes chances d’être championne de France.

 

Avec Raymond Meslay, dirigeant du club et conseiller municipal dans mon équipe de 1995 à 2001, je suis heureux d’avoir contribué à l’accompagnement de la progression du club et de l’équipe Pro A, de diverses façons, et en faisant construire en 1999-2000 la salle du COSEC qui peut accueillir près de 1000 spectateurs assis (davantage avec des gradins en plus) et, bien sûr, est utile à d’autres sports, notamment le basket-ball.

 

Les deux matches de ¼ de finale face au club Fenerbahçe d’Istanbul (Turquie) ont été gagnés 3-2, à l’aller, comme au retour. A Istanbul, c’était Jia Nan qui s’était distinguée en gagnant ses deux matches face à des joueuses mieux classées qu’elle.

TT-Evreux-Ruta-et-banc-24-03-09-004.jpgA St-Berthevin, samedi, c’est Ruta qui a été décisive
en gagnant son match face à l’américaine d’origine chinoise, Jun Gao, n° 30 mondiale. Match spectaculaire et extrêmement serré, à rebondissements (Ruta était menée 8-3 dans la 5ème manche et a gagné 14-12).

 

Les 3 points de la victoire ont été gagnés par les 3 joueuses de l’US St-Berthevin-St-Loup, la force de cette équipe étant son esprit collectif, quasi familial, et le haut niveau de chaque joueuse.


Ruta Paskauskiene à Evreux le 24 mars 2009.
Sur le banc, Oxana Fadeeva, Solène Legay (capitaine) et Stéphane Dufresne (coach)




Contre Carthagène (Espagne), en ½ finales, l’enjeu sera de se qualifier pour la finale de cette Coupe d’Europe.

Cette ville est la capitale politique de la Murcie. J’ai eu le plaisir de jumeler St-Berthevin avec la ville de Ceuti (10 000 habitants), près de Murcie. Les cérémonies commémorant le 10ème anniversaire du jumelage auront lieu début avril 2010 à St-Berthevin et à la Toussaint 2010 à Ceuti. Le match aller aura lieu le 27 mars à St-Berthevin, une semaine trop tôt ! 
 

Cet article est le 7ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports

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27 juillet 2009 1 27 /07 /juillet /2009 16:39

Un sport à base de médicaments est bien malade

 

Le président de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), Pierre Bordry, a confirmé les doutes qui subsistent sur la sincérité de tous les acteurs du Tour de France en matière de lutte contre le dopage (voir l’article paru le 26 juillet sur ce blog Tour de France : produit commercial sponsorisé par le service public).

 

Voici l’article paru ce 27 juillet sur le site du quotidien Le Monde, sous la signature de Stéphane Mandard :


Tour de France : une nouvelle génération d'EPO suspectée


A la différence du Tour 2008, l'édition 2009 s'est achevée sans la révélation du moindre cas positif. Faut-il en conclure pour autant que cette 96e Grande Boucle s'est courue à l'eau claire ?
Ce n'est pas ce que croit Pierre Bordry, le président de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD):
"Il y a vraisemblablement eu des transfusions sanguines", a-t-il déclaré au Monde. Le président de l'AFLD a également "la conviction que deux nouveaux produits ont été utilisés pendant le Tour, deux médicaments qui ne sont pas encore sur le marché". Selon nos informations, l'une de ces deux substances serait l'hematide, une EPO de troisième génération qui permet de maintenir le niveau d'hémoglobine.

Encore en phase clinique, ce médicament, dont la commercialisation n'est prévue que pour 2011, figure déjà sur la liste des substances interdites de l'Agence mondiale antidopage (AMA). Le second médicament serait l'Aicar, un produit qui agit sur les tissus musculaires et permet de brûler les graisses.
"J'ai été saisi par la maigreur de certains coureurs", note Pierre Bordry. Les tests de détection de ces deux produits pourraient être prêts d'ici septembre-octobre. Autant dire, qu'à l'instar de l'EPO CERA l'an dernier, des cas positifs pourraient être déclarés plusieurs semaines après la fin du Tour.

D'autant que l'AFLD s'apprête également à tester de nouveau des échantillons prélevés lors du Tour 2008 sur une quinzaine de coureurs venant de disputer la Grande Boucle et dont certains ont connu des performances bien inférieures à celles de l'an dernier. Enfin, l'AFLD a fait des découvertes dans les poubelles de certaines équipes.
"Nous avons trouvé des médicaments lourds, comme une substance pour produire de l'insuline qui est normalement utilisée par des diabétiques", indique Pierre Bordry.

 

Voir dopage et EPO pour être moins ignare sur tous les produits dopants.

 

(…) EPO pour erythropoïétine (du grec eruthros signifiant rouge et poïesis signifiant produire, créer). L'EPO est une hormone protéique habituellement produite par le rein. De ce lieu de sécrétion, elle migre dans la moelle des os où elle stimule la production des érythrocytes (globules rouges).
Utilisée en thérapeutique pour le traitement des anémies, son "ingestion" permet à un individu sain d'augmenter le nombre de ses globules rouges donc sa capacité à transporter l'oxygène jusqu'aux muscles.
On comprend l'intérêt majeur que cette hormone peut revêtir pour les spécialités d'endurance.
En 1987, avant même d'être mise sur le marché (période d'expérimentations cliniques), alors qu'elle vient tout juste d'être synthétisée par génie génétique de l'hormone naturelle, l'EPO apparaît dans le milieu du sport de haut niveau (…).

 

Voir aussi, ce 27 juillet, sur le site du Monde Un talent "stimulé" ? par Greg LeMond... et, sur le site de Libération, l’édito de Laurent Joffrin Cynisme et le billet du chroniqueur spécialisé, Antoine Vayer : Contador, du kérosène dans les veines.


Cet article est le 6ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports

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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 22:44

Complicités pour marginaliser la question du dopage

 

 

 

L’édition 2009 du Tour de France s’est achevée ce 26 juillet. Grand succès commercial. Avec l’appui du service public de France Télévisions. Pas un cas de dopage annoncé. Il ne fallait pas perturber la sérénité de la course. Le public doit être persuadé que les efforts réalisés pour éradiquer le dopage commencent à porter leurs fruits.

 

Faut-il le croire ? Il me semble nécessaire de compléter l’article paru le 15 juillet sur ce blog : Tour de France : le sport et les coureurs, victimes du dopage dissimulé.

Le succès commercial est dû à la présence d’Armstrong (riches clients américains) et à sa rivalité médiatisée avec Contador d’une part, combinée avec l’intérêt de plus en plus grand des Russes pour le Tour de France d’autre part. On peut y ajouter un parcours bien choisi (première semaine près de la Méditerranée, passage dans trois paradis fiscaux - Monaco, Andorre, la Suisse – voir l’action menée par ATTAC Omerta sur Monaco pendant le Tour de France).

 

Le Tour de France appartient à ASO (Amaury Sport Organisation). Voir Tour de France 2009 - Qui sommes nous ?

 

Des changements ont eu lieu en 2008 qu’il convient d’analyser. C’est ce qu’a fait Clément Lacombe, dans un article paru le 22 juillet sur le site du quotidien Le Monde – voir Quel avenir pour le Tour dans la stratégie d'ASO ? - Sports - Le ...

           

D’apparence, rien n’a changé : de bourg en ville, la gigantesque machine charrie chaque jour son lot de coureurs, de semi-remorques ou d’hélicoptères dans un ordonnancement parfaitement maîtrisé. Mais en coulisses, la maison mère du Tour de France, Amaury Sport Organisation (ASO), a connu de violentes convulsions durant l’été et l’automne 2008 avec l’éviction de son président, Patrice Clerc, et de son adjoint, Gilbert Ysern (…).

 

Cette année, le Tour de France a un remarquable vainqueur, l’espagnol Alberto Contador, dont les qualités de grimpeur et de rouleur sont évidentes et plaisent au public. Cela ne doit pas nous empêcher de poser les questions qui fâchent. Son équipe, Astana, n’avait pas été admise à participer au Tour 2008. Lui-même est très proche de gens qui ont été fort actifs dans le dopage dans un passé récent.

 

Nous ne pouvons éviter de penser, sans preuves, que ses performances sont améliorées par l’apport d’un suivi médical et pharmaceutique de haut niveau, échappant au système de contrôle antidopage. L’équipe Astana n’est probablement pas la seule à recourir à ces procédés.

 

Le journaliste du Monde, Clément Lacombe, dans un article paru le 24 juillet, posait ces questions : Tour de France : Alberto Contador répond aux doutes par le mutisme.

 

L’ancien vainqueur de trois Tours de France, le 23 juillet, sur le site du même quotidien, demandait Alberto, prouve-moi qu'on peut croire en toi, par Greg LeMond.

 

Dans Ouest-France, ce 26 juillet, Vincent Cote a interrogé le coureur. Celui-ci exprime sa satisfaction sur le thème du dopage, sans avoir été interrogé sur ce point.

 

Le Tour s'achève sans affaire de dopage, cela change des années précédentes. Je suis très content de cette situation générale. La lutte antidopage est importante et la mentalité des coureurs change. Cela commence à porter ses fruits.

Lire l’article : Un deuxième Tour de France pour Contador.

 

Les intérêts commerciaux du Tour de France, soutenus par le pouvoir politique, par le biais du service public France Télévisions et du président de la République en personne (interrogé longuement en direct de l’arrivée de la principale étape alpestre, il a fait l’éloge d’Armstrong, son ami et l’ami de Bush, de manière indécente) vont dans le sens de l’escamotage du problème du dopage. Une régression de plus.


Cet article est le 5ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports 

 

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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 21:46

Greg LeMond, un chroniqueur pour Le Monde

 

Une série d’articles parus sur le site du quotidien Le Monde, avec la signature de Greg LeMond, triple vainqueur du Tour de France (1986, 1989, 1990), a éveillé mon attention. J’ai regardé de plus près, me souvenant des réticences de l’intéressé vis-à-vis des performances de son compatriote Lance Armstrong. Ce Greg a du talent et de la crédibilité.

 

Ses réponses aux questions des journalistes Henri Haget et Boris Thiolay (L’Express, 13 juillet 2007) valent le détour :

 

Cet homme est un pionnier: le premier Américain vainqueur du Tour de France à une époque (1986) où le cyclisme ignorait la mondialisation. Cette année-là, Greg LeMond triomphe de son équipier Bernard Hinault, et la photo des deux champions franchissant, main dans la main, la ligne d'arrivée, à l'Alpe-d'Huez, fera le tour de la planète. LeMond remportera encore la Grande Boucle en 1989 et en 1990, avant de quitter un peloton où l'EPO commence ses premiers ravages. Aujourd'hui, ce prospère businessman de 46 ans ne reconnaît plus le sport qui l'a fait roi. Les sacres de ses compatriotes, Lance Armstrong et Floyd Landis, entachés de soupçons, lui laissent un goût amer. En matière de lutte contre le dopage, selon lui «la révolution reste à faire».

 

Lire la suite : ''Les coureurs dopés sont comme des toxicomanes''

 

Greg LeMond suit le Tour de France 2009 en se mettant dans la peau d’un journaliste…

 

Cet été, pour la première fois de ma vie, je vais faire le Tour de France non pas en tant que coureur cycliste, mais dans la peau d'un "journaliste". Drôle d'idée m'objecterez-vous ? Je ne suis pas un journaliste et je n'ai jamais écrit dans un journal. Aussi, quand Le Monde m'a proposé de tenir la plume dans ses colonnes, je me suis demandé si j'aurais quelque chose d'intéressant à raconter sur le cyclisme. Si j'ai accepté de jouer les chroniqueurs, c'est parce que j'aime par-dessus tout le Tour de France. Même si je l'ai remporté il y a déjà fort longtemps, dix-neuf ans après, il coule toujours dans mon sang, il est toujours dans mon coeur.

Mais ces dernières années, le Tour est devenu une expérience douloureuse pour moi. Pour certains Américains, je suis le jaloux, ancien coureur du Tour de France, qui veut vivre sur sa gloire d'antan. C'est mal me connaître. La dernière fois que j'ai couru le Tour, c'était en 1991. J'avais terminé septième et réalisé que la course avait changé. Mais je ne savais pas très bien pourquoi (…).

 

Aujourd'hui, je veux pouvoir regarder le Tour de France sans avoir à me demander qui est propre ou qui triche, ce qui relève de l'athlète ou du médicament, d'un célèbre médecin italien ou espagnol... Quand dira-t-on enfin : "Ça suffit !" ? (…)

 

Voir cet article dans son intégralité (Le Monde, 4 juillet 2009) : Il est temps de dire "ça suffit !", par Greg LeMond - Sports - Le ....

 

Ces deux derniers jours, Greg LeMond a signé trois articles, dont je conseille la lecture :

 

Une corporation où l'on accepte l'inacceptable, par Greg LeMond (Le Monde, 15 juillet),

 

Jetez l'oreillette, par Greg LeMond (Le Monde, 14 juillet),

 

Alberto, méfie toi !, par Greg LeMond (Le Monde, 14 juillet).

 

 

Cet article est le 4ème paru sur ce blog dans la catégorie Les sports.

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